«  on connaît la chanson »

 A force de connaître la défaite, on s’était mis à fredonner ce refrain d’une chanson de Claude François traduit d’un titre de la Motown « c’est la même chanson, mais la différence c’est que toi, tu n’es plus là… ». Avec  France Gall, pour combler son absence, on encourageait le BOPB en lui chantant : « résiste, prouve que tu existes ». Samedi soir « il » est revenu au rythme d’un refrain de Sacha Distel repris du théme musical de Butch Cassidy : «  toute la pluie tombe sur moi mais je me dis que j’ai le moral et après la pluie vient le beau temps ». En cinq coups de pied magiques comme l’entonne Jean-Jacques Goldman : « il changeait la vie ». Du rouge et blanc mélangés, « il » a permis à tout un club, à tous ses supporters de revoir « la vie en rose ». « Il » est revenu « comme un boomerang », comme le Messie, comme Zorro, comme le fils prodigue, comme « un bateau que l’on attend plus ». Yes ! « le Yach » is back ! Et tout  Aguilera qui « avait tant crié pour qu’il revienne » a repris en chœur les trois syllabes de son nom « Yach-vi-li » le tube préféré des supporters biarrots.    

 En battant l’USAP, le BOPB a montré toute sa solidarité et tout son coeur : « quand je pense à toi, je pense à moi ». Derrière un Iain Balshaw toujours a donné le rythme sur les paroles de la  chanson d’Elton John «  I’ still standing ». Oui, le BOPB est toujours debout, décidé d’aller «  jusqu’ au bout de ses rêves »

                                  JL-Berho